Le journal des Elèves d'Expression et Communication

Voici les différents articles rédigés par les apprentis journalistes de l'Indsé 1er degré. La version papier du journal existe toujours (Noël - Pâques - Portes Ouvertes). Tous vos commentaires seront les bienvenus... Bonne lecture! indse.news@caramail.com

27 octobre 2006

Superbus! Un groupe qui roule!



Superbus est le nom d’un groupe français pop-rock qui veut dire : fier, insolent, magnifique, brillant, superbe, …

La fondatrice du groupe est Jennifer Ayache (la fille de Chantal Lauby). Elle a été pianiste et puis batteuse depuis l’âge de 10 ans mais elle n’est pas la seule membre du groupe ! ! ! ! ! ! !

Ce groupe est aussi composé du batteur Michel Giovanetti que Jennifer a rapporté dans sa valise après un voyage aux Etats-Unis qui lui a aussi fait rencontrer François Even. Son rôle sera de jouer de la basse et de s’occuper des chœurs. Ensemble ils commencent à donner vie à un groupe extraordinaire. Ensuite, ils sont rejoints par Guillaume Rouse (le futur batteur) et Patrice Focone (le joueur de guitare électrique). Maintenant, Superbus est né ! ! ! ! ! ! !

Dès janvier 2000, le groupe se produit sur les scènes un peu partout. Les autres " Pop-rock " du monde tombent eux aussi sous le charme de la jeune leader de Superbus et il la surnomme " The French Gwen Stefani "
Superbus achève enfin son album " Aéoromusical " au printemps 2002. Ensuite, il arrive à écouler 80 000 exemplaires. Alors, Superbus, adoré par la presse, devient la nouvelle icône de la pop française...

Superbus, c’est un groupe de musique pop-rock dont le succès va grandissant.

Quelques titres de Superbus :
-Pop n’Gum
-Superstar
-Butterfly
-Girl

Florence Kettelle, 1a4

20 octobre 2006

Le travail des enfants


Le Bureau international du Travail recensait, en 2001, 246 millions d’enfants qui travaillaient dans le monde. La moitié des enfants âgés de 5 à17 ans travaillent à plein temps.
La majorité travaillent dans l’agriculture.

Environ 111 millions d’enfants de moins de 15 ans sont astreints à des travaux dangereux et devraient y être immédiatement soustraits.

8.4 millions d’enfants sont obligés de travailler. Ce sont des emplois impitoyables : esclavage, conflits armés, prostitution, pornographie.

Le travail des enfants en Afrique
L’Afrique est le continent où il y a le plus d’enfants au travail. 41% des enfants de 5 à14 ans travaillent, soit 80 millions( c’est le pourcentage le plus élevé dans le monde).
En 2015, l’Afrique pourrait atteindre les 100 millions d’enfants au travail.

Il y a plusieurs raisons qui expliquent ce phénomène...
Tout d’abord la pauvreté oblige les familles à recourir à tous les moyens pour gagner plus d’argent. Il y a un accès insuffisant à l’éducation et les enfants ne peuvent pas s’instruire et faire de grands métiers; il y a une ignorance des enfants et de leurs familles. La migration des adultes des villages vers les bidonvilles expose les enfants à de plus grands risques, il y a aussi une forte demande des employeurs et les jeunes veulent beaucoup voyager et ça demande beaucoup d’argent.

Le Nigeria est le pays le plus peuplé d’Afrique. Selon l’U.N.I.C.E.F, il y a 12 millions d’enfants qui travaillent.
Les enfants travaillent pour nourrir leurs familles : aux travaux agricoles, à la cuisine, à la corvée de l’eau ou bien encore aux travaux domestiques ( 37 % des filles).
Une tradition africaine dit que certains garçons et certaines files doivent travailler comme domestiques en ville.

Au Burkina Faso, des enfants à peine âgés de 8 ans travaillent dans les mines d’or.
Les enfants font l'objet d'un trafique et sont échangés à travers plusieurs pays( le Togo, la Côte d’ Ivoire, ….).

En ce qui me concerne, je pense que les enfants ne devraient pas travailler. Ils devraient tous avoir accès à l'éducation... et s'amuser aussi.

Soutenons organisations humanitaires qui luttent contre le travail des enfants!

D'autres infos sur : www.droitsenfant.com

Anaïs FERON, 1a4

Entretien avec Philippe Collard (29/09/2006)



Anne Bouzendorff, Patricia Strepenne et Florence Kettelle ont rencontré, le vendredi 29 septembre 2006 monsieur Collard, bourgmestre de Bastogne, dans son bureau, à l’administration communale, afin de l’interroger sur le déroulement des élections du 8 octobre.

ExCO : Des élections, ça consiste en quoi ?
PhC : Voter, c’est un acte qui consiste à élire un bourgmestre et un collège d’échevins.

ExCo : Comment ça se passe ?
PhC : Quinze jours avant les élections, chaque électeur reçoit une convocation l’invitant à se rendre dans un bureau de vote (muni de sa carte d’identité et de sa convocation). Le vote est obligatoire. Celui qui est incapable de se déplacer pour voter peut donner procuration à quelqu’un d’autre. Si quelqu’un ne vient pas voter (parce qu’il n’en a pas envie), la première fois, il reçoit un avertissement et ensuite, si cela se reproduit, il doit payer une amende.

ExCO : Quel est votre rôle en tant que bourgmestre ?
PhC : Le bourgmestre doit s’occuper du territoire de sa commune, y assurer la sécurité et assurer toutes les tâches qui permettent d’assurer le bon fonctionnement de la commune.

ExCo : Vous êtes épaulé ?
PhC : Oui. Il y a 23 conseillers communaux (le nombre doit toujours être impair pour nous départager en cas de vote lors du conseil communal) et 5 échevins (qui s’occupent chacun de domaine différent).

ExCo : Votre commune, elle est grande ? Comment les gens votent-ils ? Vous le savez ?
PhC : Elle compte 14.000 habitants. En ce qui concerne les votes, il existe 3 listes : ETRE, AVENIR et NOTRE COMMUNE. Il y a 10% de votes blancs (çàd, des bulletins qui ne sont pas complétés correctement).

ExCo : L’objectif du mandat actuel est-il atteint ?
PhC : 85% des tâches promises sont réalisées. Cela touchait essentiellement les domaines de la culture et de l’aménagement du territoire (les travaux en ville). Les 15% restant ne sont pas réalisés parce que les projets sont tombés à l’eau par manque de moyens : le budget ne permettait pas de les concrétiser.

ExCo : Avez-vous des projets pour l’avenir ?
PhC : Oui. Réparer la piscine. Cela fait 25 ans qu’elle existe mais à l’heure actuelle, elle connaît quelques " fuites ". Une piste d’athlétisme est aussi prévue à Renval : elle fera 400m de circonférence. Ce sera la seule piste de ce type dans la province du Luxembourg. Elle pourra accueillir des compétitions nationales. Le musée du Mardasson subira des transformations : il deviendra le plus grand musée belge dédié entièrement à la seconde guerre mondiale. Il est en projet d’aménager une grande discothèque à quelques kilomètres de Bastogne ; le but est de prévenir les accidents. Nos jeunes se déplacent loin pour sortir. Leur offrir une structure proche de chez eux réduira les prises de risques sur la route.
Le club de gym de Wardin accueille 300 jeunes ; la salle devient trop petite pour eux : nous allons leur allouer une salle plus grande située à Renval.
Un autre projet encore : une piste de skate board au centre sportif de la Porte de Trèves.

Nous remercions monsieur Collard pour le temps qu’il nous a consacré et pour l’amabilité de ses réponses.

Aujourd'hui (20/10/2006), on sait que monsieur Collard est conforté dans sa fonction de bourgmestre pour les six années "A VENIR" puisqu'il a remporté les élections communales.
Souhaitons-lui de bien travailler...

Anne, Florence et Patricia.

19 octobre 2006

Défi lecture pour certaines classes de première




Ce jeudi 19 octobre, des jeunes qui font leurs études à l'Iles pour devenir profs (de français) sont venus présenter, aux classes qui participent au défi lecture, une vingtaine de livres.

Mais c'est quoi le défi lecture?
C'est un challenge inter classe qui consiste à lire vingt ouvrages différents; à rédiger des questionnaires auxquels les autres classes devront répondre pour accumuler des points; à s'affronter dans des jeux "intellectuels" et sportifs portant sur la connaissance des livres lus... Tout ça dans le but d'être élu "Supers Lecteurs"!

Ces jeunes sont entrés dans nos classes (un par classe) habillés particulièrement... Une longue jupe sur un pantalon; des lunettes de soleil cachées par une perruque...

Dans notre classe de 1a4, la jeune fille s'est d'abord présentée. Ensuite, elle nous a dit qu'elle rentrait de voyage (ce n'était bien sûr pas vrai). En voyage, elle avait emmené plusieurs livres pour se distraire.

Nous étions assis à terre car il nous fallait de la place. Nous avions tout rangé sur nos bancs, à l'arrière.

La jeune fille a affiché une carte du monde au tableau. Elle nous a alors parlé d'un pays dont parlait un des livres à lire. Elle nous a présenté aussi différents objets qui nous faisaient penser au pays où l'histoire allait nous emmener. Tous les livres ont ainsi été présentés en fonction de leurs destinations... C'est un grand voyage qui nous attend.

Aujourd'hui, en français, avec notre prof de français, madame Reiland, nous avons tiré au sort le premier livre que nous allons lire. Nous essaierons de lire chacun des livres parce que nous avons envie de gagner ce défi lecture avec notre classe. Le défi se termine en mai...


Article : Anaïse Lafontaine, 1a4
Photos : Mélissa Bertrand, 1a7

17 octobre 2006

Le cross inter classe


















Ce lundi sur le temps de midi, les élèves de 1ère ont participé à un cross dans le parc. C'était l'occasion de s'entraîner pour Renval.
Bientôt le compte rendu complet!

Les Ardoisières (Bertrix)


Le lundi 16/10/2006 à 12h20, dans la cours, les élèves de 2A1, 2A8 et 2A9 sont en rang. Ils attendent patiemment les retardataires, pour se diriger vers la pépiniaire. Mais ils ne savent pas ce qui va leur arriver dans les Ardoisières de Bertrix …

13h30 … enfin arrivés aux Ardoisières de Bertrix ! Devant nous, un bar. Un homme nous attend. Une classe a commencé par visionner la vidéo relatant l'histoire de la mine et de ce qui s'y passe encore; l’autre classe a commencé pas la visite de la mine et les 2A8 par le pesage (comme l'illustre la photo).

Devant nous, une pierre … on nous a demandé de la soupeser, alors chacun à notre tour, on a commencé à la porter. Tout le monde a dû le faire !

Deux filles de notre classe ont été désignées pour prendre note des noms et du poids qu’on a estimé. Tout le monde dit un poids différent allant de 20 à 90 kg... Le gagnant gagnait un paquet de chips.

Une fois la pesée terminée, nous nous sommes dirigés vers l’activité vidéo …
Nous sommes entrés dans une petite salle. Il y avait des chaises et des bancs. Nous nous somme assis et avons regardé le montage racontant comment il coupait les pierres pour faire les ardoises. Il faut les couper toujours en leur milieu et en les coupant, recoupant, … on obtient une ardoise correcte.
Ils disaient aussi comment ils descendaient dans les mines, avec un ascenseur.
A combien de mètres ils allaient en sous-sol : 45m.
Mais ce qu’on a, à mon avis, tous le mieux aimé c’est la mine. Nous sommes descendus à 25m sous terre.

Pour descendre, pas d’ascenseur mais par contre des marches, des marches et encore des marches! Quand nous sommes arrivés, un homme âgé nous attendait. Il s’appelait Louis. Notre visite a commencé, on a d’abord regardé une sorte de long trou dans le mur qui allait à la verticale mais il penchait un peu. Louis nous a expliqué que c’était là où les mineurs mettaient les déchets de pierre. Puis il nous a montré une chaussure. Quand on regarde bien, on voit qu’il y a des clous sur les semelles. Pourquoi ? Et bien c’est pour ne pas que le pierres trouent les chaussures et blessent le mineur. On a avancé. Devant nous, une vitre de verre. Par terre , derrière la vitre de verre, plein de pièces de monnaie... Mais à quoi ça sert ?
Alors il nous à répondu que ça portait bonheur...

Nous sommes revenus en arrière, on a observé une sorte de pierre avec, autour, du bois et collées les unes contre les autres. Et bien ce sont des ardoises qui figurent une maquette de la mine.
On est encore revenu en arrière et à côté de nous, une cage électrique (on dirait), et à partir de ça il nous a expliqué combien un homme portait de kilogrammes sur une journée.

On est allé vers un autre chemin : il y avait une exposition de pierres. Une fille de notre classe à été désignée pour porter une pierre. Louis nous a montré comment la prendre et elle a dû la porter sur une distance de 3 m.

Enfin, nous sommes revenus au point de départ, au pied des escaliers. Tout ce qu’on avions descendu, nous l'avons remonté...

On s’est dirigé vers le car tout le monde nous attendait, et on est reparti vers Bastogne pour prendre le bus ou pour rejoindre ses parents à la sortie de l’école.


Article : Otto Frédérique, 2a8.
Photos : Le pesage de la pierre, Otto Frédérique, 2a8

Le Prix Farniente


Une nouvelle année scolaire, de nouvelles lectures!
Cette année encore, les élèves de deuxième participent au Prix Farniente.
Il leur faudra lire six romans :
* Face Nord
* Pourquoi?
* Un boulot d'enfer
* Garçon ou fille?
* Tuer n'est pas jouer
* Maestro
Au mois de mars, chaque élève de 2ème votera pour son roman préféré...
Pour l'instant, les pronostics vont bon train...
POURQUOI? écrit par Moka est bien placé dans les classes qui en ont commencé la lecture.
Ce roman raconte la lutte d'une ado de 13 ans pour éviter qu'il n'arrive quelque chose de grave à sa petite soeur... Restons vague pour garder le suspense intact! Un super roman!
Bonne lecture à tous!

(Illustration : détail de la "fresque" réalisée en 2a8 dont le thème est "Plaisir de Lire")

(

16 octobre 2006

Une nouvelle année pour notre journal


Cela fait déjà 5 ans que les élèves de première année peuvent participer à la rédaction du journal de l’école. 4 ans pour les élèves de 2nd...
C’est une activité complète et complexe qui leur demande de faire preuve d’initiative et d’imagination.
Au fil du temps, les techniques de mise en page se sont peaufinées, le journal est devenu plus joli et plus documenté.
La première année, les articles étaient illustrés à l’aide de cliparts noir et blanc…
La seconde, un scanner a été utilisé pour capturer des photos « papier » pour ensuite les intégrer au journal.
La troisième année, l’appareil photo numérique est entré dans la vie du journal et maintenant, il est difficile de s’en passer.
En juin, les élèves de EXCO ont reçu, pour l’activité, un bel appareil photo, qui leur permettra de faire du bon travail d’illustration tout au long de cette année.
Et puis, top du top, aujourd’hui, notre premier article, notre premier journal et mis en page sur un ordinateur performant… Un beau cadeau pour le cours, qui nous encourage à travailler davantage.
Souhaitons que le journal devienne incontournable; qu’il soit attendu de ses lecteurs (ce serait le rêve, ça) !

(Illustration : le groupe de 2nd)